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La politique de rigueur menée par le gouvernement touche toutes les dépenses publiques, les autorités viennent d’annoncer plusieurs mesures pour maîtriser le déficit des allocations familiales.

Déficit des allocations familiales, une réforme pour rétablir l’équilibre.

La nécessité de réduire les dépenses publiques fait l'unanimité parmi les différents partis politiques, la question qui les oppose est de savoir comment ? Quand ? Et sur quels secteurs l’Etats doit mener sa politique de réduction de déficit public.

Avec environ 2,5 milliards d’euros, l’Etat fait le déficit de la branche familiale sa priorité dans le cadre de son programme de stabilité 2013-2017. Différentes mesures sont proposées par l’Elysée et par Matignon afin de rééquilibrer les caisses des allocations familiales telles que : la réduction des allocations, un abaissement du quotient familial ou encore relever les impôts.

Réduction des allocations, qu’est-ce que cela implique ?

Cette mesure proposée par Matignon concerne uniquement les foyers gagnant environ 5 000 euros par mois pour un couple avec deux enfants.

Selon plusieurs sondages, 68 % des Français y sont favorables contre un quart opposé à cette mesure au nom de l’égalité. Cette solution pourrait permettre au gouvernement de réduire les dépenses de la branche familiale et de combler les deux milliards d’euros de déficit aux alentours de 2016.

Baisse du quotient familial, la solution adaptée ?

Le quotient familial est l’indice qui permet de déterminer le montant des allocations familiales en fonction de plusieurs critères tels que les revenus du foyer, le nombre d’enfants…

Selon plusieurs sources, le gouvernement pourrait réduire le plafond  de cet indice qui permet également aux foyers d’obtenir des réductions d’impôts en fonction du nombre d’enfants. Les autorités pourraient réglementer cet avantage et plafonner le quotient familial de 2 000 à 1 500 euros. Selon les estimations ce changement pourrait rapporter à l’Etat plus de 900 milliards d’euros soit à peu près le montant du déficit des allocations familiales.