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En 2015, le marché immobilier a été excellent pour les professionnels et cette année devrait confirmer cette tendance. Toutefois, une récente étude montre que la location est souvent plus rentable que l’achat, notamment à cause de la stagnation des prix.

Immobilier : l’achat est désormais perdant dans certaines villes

Avec la taxe foncière, les nouvelles taxes, les charges de copropriété ou encore les nouvelles normes thermiques, l’achat d’un logement devient hors de prix.

Aujourd’hui, de nombreux jeunes sont locataires et n’ont plus les moyens d’acheter. Dans la capitale, seulement 7 % des jeunes de 30-35 ans sont en mesure d’acheter un logement, contre 32 % en 1998.

Les résultats d’une récente étude réalisée dans les grandes métropoles où le marché immobilier est tendu montrent que l’achat immobilier est souvent perdant.

Dans ces villes il faut attendre 10 ou 15 ans pour rentabiliser son acquisition immobilière, alors que la durée de détention moyenne d’un logement en France est de 8 ans. Les Français vendent très tôt par rapport aux autres pays Européens, à cause de la naissance d’un enfant, d’un divorce ou d’une mutation professionnelle.

La stagnation des prix immobiliers : un changement radical

En France, ceux qui vendent leur logement aujourd’hui l’ont acheté il y’a environ 8 ans, selon une récente étude qui montre également que le changement sur le marché immobilier actuel est la stagnation des prix du mètre carré.

Pour les professionnels, c’est un changement radical. Avant les acquéreurs avaient l’assurance et la certitude de revendre leur bien immobilier plus cher pour réaliser une plus-value.

Aujourd’hui, ceux qui vendent ont du mal à obtenir le prix initial de leur logement, c’est-à-dire, le prix qu’ils ont acheté il y a juste 8 ans.

Cette stagnation rend la situation très difficile pour certains foyers, surtout quand il faut déménager dans l’urgence sans avoir revendu leur ancien logement.

Cependant, certains professionnels qui insistent sur les taux d’intérêt attractifs et sur l’assouplissement de conditions de crédit, voient cette stagnation comme une aubaine pour les acheteurs, notamment les primo-accédants.