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Selon une récente étude, les prix immobiliers ont progressé dans la plupart des grandes villes. La principale raison évoquée est la baisse des taux d’intérêt immobiliers

Taux d’intérêt : la plupart des banques affichent encore des baisses

C’est un fait indiscutable, les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont historiquement bas. Grâce à la politique actuelle de la Banque centrale Européenne et à la concurrence entre les établissements bancaires, le coût du crédit n’a jamais été aussi bas depuis 1945.

En cette rentrée, les différents baromètres montrent que la plupart des banques affichent encore des baisses. Après un été très calme en termes d’octroi de prêt à l’habitat, les établissements bancaires semblent repartir à l’offensive. Ils prêtent actuellement à des conditions inédites.

La tendance reste toujours baissière en cette période de rentrée avec des banques qui souhaitent toujours rester compétitives.

Par ailleurs, si cette baisse historique des taux d’intérêt améliore le pouvoir d’achat immobilier des Français, elle favorise également la hausse des prix du mètre carré. C’est ce que constatent les différents baromètres.

Immobilier : les prix augmentent partout

Selon les réseaux d’intermédiaires bancaires, les taux d’intérêt ont perdu environ 0,8 % depuis janvier 2016, passant de 2,5 % en moyenne sur 20 ans à moins de 1,7 % à ce jour sur la même période de remboursement.

Par ailleurs, les prix immobiliers continuent de monter presque partout sous l’effet de cette baisse continue. De ce fait, si le pouvoir d’achat immobilier a progressé de 8 %, les spécialistes observent une hausse dans la plupart des grandes villes.

A Lyon, la hausse est de 3,5 %, Bordeaux enregistre une progression de près de 3 % et les Parisiens ont vu les prix du mètre carré augmenter de 2,7 % en moyenne depuis janvier 2016.

Cependant, face à cette augmentation des prix, les spécialistes estiment que les avantages du taux bas sont globalement partagés entre acheteurs et vendeurs, surtout dans les zones les plus tendues où les vendeurs profitent davantage de cette manne pour augmenter facilement leurs prix. Ainsi, dans les zones stables, ce sont les acheteurs qui profitent pleinement de la baisse des taux d’intérêt.